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Dernière mise à jour : Samedi 30 septembre 2017

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setlist

Début concert : 20h07
Fin concert : 22h25
Durée du concert : 2h18

01 - Crache ton venin
02 - Hygiaphone
03 - Dans ton lit
04 - Prends ce que tu veux
05 - Argent trop cher
06 - La bombe humaine
07 - Au cœur de la nuit

Présentation des musiciens (20h40)

08 - 66 heures
09 - Cendrillon
10 - Flipper
11 - Métro c'est trop

12 - Le silence (Acoustique) (21h07)
13 - Fleur de ma ville (Acoustique)

14 - Le jour s'est levé
15 - Dure limite
16 - Ce que je veux
17 - New York avec toi
18 - Un autre monde

Rappel 1 (21h51)
19 - Electric cité
20 - Ça c'est vraiment toi (+ extraits "Purple haze" et "Smoke on the water")

Rappel 2 (22h12)
Impro
21 - Tu vas me manquer
Impro fin avec JLA à la batterie (Richard au micro)

Merci à Jérôme et Lucie pour la setlist




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Touché ! :-)


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on se souvient

 

- De la prévente locale du 24 mars organisé au Palio pour 900 places, mise en vente le 27 mars (5400 spectateurs // concert complet) (France Bleu du 24/03/2017 : "Les premières places de concert pour les Insus à Boulazac sont parties en 12 minutes")

- Du reportage de France 2 pour l'émission de Laurent Delahousse : 20h30 le dimanche - La journaliste (un peu "excitée" Camille Dahan se baladait dans les coulisses et dans le public).

20h30 le dimanche

- Des minis impros et des jeux de mots de Jean-Louis pendant le concert
-> Pendant "Flipper" : "On te donne 3 boules… azac" - " t’as perdu la boule-azac"
-> A la fin du concert Jean-Louis à la batterie et Richard chantonne quelques mots.

Vidéo Emilie

- En première partie : Datcha Mandala

affiche

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/// Presse locale

- Sud Ouest du 04/09/2017 : "Les Insus mettent le feu au Palio de Boulazac".

 
  - Les prix : concert complet ! prix
  Carré or : 88.40 €
  Catégorie 1 : 71.90 €
  Catégorie 2 / Fauteuil roulant : 55.40 €
  Debout : 38.90 €
 

place
Merci à Jérôme pour la place

récit du concert
Par Jérôme Lcst le 07/09/2017

Comme je l’ai déjà dit sur au moins un de mes 2 précédents CR, les photos parlent d’elles-mêmes pour décrire la soirée que j’ai passée. Donc après Clermont Ferrrand en mai 2016, et Brive en juillet de la même année, on avait RDV avec nos Insus à Boulazac, tout près de Périgueux, dimanche soir. « On », c’est Viviane et moi, et on les a vus 3 fois ex-aequo, sauf que Viviane elle a eu la chance de voir le groupe dans la configuration 1 fille + 3 garçons, en 1985, à l’époque où le courant passait encore un peu dans le Téléphone !…

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Décidés à ne pas se retrouver au fond de la fosse on a fait les choses en grand en arrivant devant le Palio vers 14h, en rencontrant des gens très sympas, ce qui a fait rendu l’attente un peu moins longue (quoique…). Ouverture des portes à 17h30, cafouillage à l’entrée et me voilà placé au 3ème rang au centre, Viviane se retrouvant bien plus devant, contre les barrières, côté Louis. Et impossible de se rejoindre, tout le monde tenait trop à sa place !

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Première partie avec le groupe Datcha Mandala, de Bordeaux semble-t-il (ils faisaient encore leur balance à l’ouverture de la salle). Comment dire… je n’ai jamais été voir un concert juste pour la première partie et là je me suis retrouvé face à un trio nourri au blues – rock - hard des années 70, avec un bassiste chanteur survolté dont la voix n’a rien à envier à celle de Robert Plant… en à peine 35 mn ils ont retourné la salle ! Une prestation de folie, je vous dis !

Et puis il a fallu encore attendre une trentaine de minutes avant que les lumières s’éteignent et que les projos s’allument en forment de ce « ? » rouge, cette reformation à laquelle on ne pouvait pas encore croire 2 ans auparavant. Et c’est parti à fond les manettes, la setlist n’a pas connu trop de changement. Crache ton venin, Hygiaphone, Dans ton lit puis Faits divers… non, pas Faits divers ! Elle est remplacée ce soir par Prends ce que tu veux (d’autres soirs par Sur la route, d’autres soirs elle est jouée avec un morceau de 77)… je pensais ce titre inamovible des setlists, et bien non !

Après Argent trop cher Jean-Louis nous introduit La bombe humaine par un speech sur le suicide auquel je n’ai rien compris, la faute à 2 spectatrices bruyantes et alcoolisées, qui tentent de se faufiler devant, mais plus elles avancent et moins elle arrivent à passer… Bref, çà gueule juste derrière moi et je ne peux pas profiter de cette intro de La bombe humaine, qui se termine comme d’habitude par leur effet « arrêt sur images » avant un Au coeur de la nuit toujours aussi fort, avec le solo à rallonge de JLA que j’ai pu filmer en entier, cette fois. Je me suis fait plaisir avec les photos et les vidéos, contrairement aux fois précédentes, tant pis pour ceux que çà dérange et puis je n’étais pas le seul ! On reste dans le classique avec Louis qui vient chanter 66 heures et Cendrillon, puis arrive Flipper et les jeux de mots de Jean Louis (« On te donne 3 boules… azac » ou encore « t’as perdu la boule-azac »… mouais !)

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Le set acoustique arrive après Métro c’est trop, avec Le silence… suivi d’une surprise pour ma cop’s Viviane, qui n’avait pas eu Fleur de ma ville au précédent concert et qui rêvait de l’entendre cette fois-ci ! Donc je vous plante le tableau, Louis et Jean Louis annoncent Sur la route, puis nous jouent un tout petit bout de Yesterday (vraiment léger, çà frisait la parodie) et durant un moment de silence j’entends la voix de Viviane qui demande Fleur de ma ville… et les garçons qui s’exécutent après un petit vote du public ! Comme elle était trop contente la Vivi !!! J’ai bien tenté de demander Ce soir est ce soir mais bon… le piano pour Le jour s’est levé était déjà arrivé et Jean Louis nous refait une salve de jeu de mots sur la sonorité voisine entre les noms de Boulazac et Bertignac, en improvisant au piano un truc du style « Bertignac… Boulazac… une histoire vraie près du Larzac »… Allez, on passe au Jour s’est levé et pour la suite, c’est du classique jusqu’à la fin d’Un autre monde.

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1er rappel, Richard revient en premier avec le t-shirt à l’effigie de son groupe, les autres suivent et ils nous balancent un Electric cité que je ne m’attendais pas à trouver à ce moment du concert. Puis arrive l’incontournable Cà c’est vraiment toi et son passage central délirant avec les 2 guitaristes qui empoignent chacun la guitare de l’autre en tournant sur eux-mêmes… puis une petite reprise de Purple haze, et un délire de chacun sur leurs grattes, qui s’arrête pour entendre Jean-Louis dire à Louis : « tu sais on est comme chez Jacques MARTIN, on a gagné tous les 2 ! – mais il est mort Jacques Martin ? – oui, comme tout le monde » etc etc… A un moment Louis envoie un riff qui fait penser à Smoke on the water, des gens derrière moi chantent la phrase de guitare et le groupe la reprend, puis s’arrête et Louis et Jean Louis continuent de délirer « on régresse », « je vais vous faire de la fumée sur les chiottes »… Jean Louis aura le fin mot : « Louis… quelque chose en toi, ne tourne pas roooooooond !!! »

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Et puis ils repartent et là je me dis que ce serait super d’avoir un second rappel auquel je n’ai jamais eu droit, ni à Clermont, ni à Brive… et à ma grande joie ils reviennent ! Ca commence par une impro sur laquelle Jean-Louis dit que ce serait un bon truc pour le futur album (on y croit…) et çà enchaîne sur Tu vas me manquer, enfin, là voilà celle que j’attendais ! Grosse version et à la fin… on sentait qu’ils n’arrivaient pas à partir. Richard n’a pas détruit sa batterie comme au bon vieux temps, il sera le premier à quitter son instrument mais Jean-Louis le remplace aussitôt. Pendant quelques minutes, Richard prend le micro et annone quelques « oh ouais » pendant que les autres jouent encore et il se dirige vers la sortie avec un « ciao » bref et inattendu qui nous a bien fait rire… les 3 autres partiront 2 minutes plus tard.


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Voilà, c’est fini… je doute qu’ils repartent sur les routes en 2018 tous ensemble et j’en ai bien profité car je ne crois pas les revoir avant longtemps, mais sait-on jamais ! J’apprendrai le lendemain que nous étions environ 5400 dans la salle et que le concert était suivi par une équipe de France 2 et que, le dimanche suivant, un reportage sera diffusé dans l’émission de Laurent Delamèche.